Ils se livraient une fois de plus à des jeux pervers, Kévin agenouillé sous le bureau, lorsqu’une tornade rose fit brusquement irruption dans la pièce.
« Cindy ! la gronda Georges, haletant. Combien de fois t’ai-je demandé de frapper, avant d’entrer ? -Euh, j’ai perdu le compte, papa, répliqua l’adolescente. Sept mille fois ? -Bon, ça ira pour cette fois, soupira le patron d’une manière qui pouvait aussi bien exprimer le soulagement que le plaisir. Maintenant, va-t-en, je suis occupé. -À quoi ? lui répliqua sa fille. D’accord, tu lis un gros classeur, m’enfin bon… »
En vérité, le dossier cachait assez avantageusement la tête du jeune homme, qui s’activait toujours, dissimulé des regards.
« Oui, mais euh… tenta-t-il faiblement d’argumenter, pendant qu’il luttait contre l’orgasme qui menaçait de le submerger. J’ai du travail ! -Dis, ça va ? s’enquit-t-elle en réponse. T’as l’air tout bizarre… -Tout… va… bien… souffla le PDG de la Flander’s Company tandis que son secrétaire s’occupait toujours de son membre dressé, caché sous la table. Pars, maintenant. -Bon ben, j’m’en vais, alors, fit l’apprentie en haussant les épaules. Je passais juste te dire coucou. -C’est ça, c’est ça », s’abandonna-t-il alors qu’elle renfermait la porte, perplexe.
Kévin cessa un instant son travail afin de le fixer dans les yeux.
« Vous vous rendez compte de l’humiliation que j’ai éprouvée, là ? protesta-t-il. Et si elle nous avait surpris ? -Tais-toi et continue », lui rétorqua son supérieur, sans même daigner lui répondre.
Re: Flander's Company - UA!Georges/UA!Kevin - PG - 13
Date: 2011-09-21 04:26 pm (UTC)Humiliation
Ils se livraient une fois de plus à des jeux pervers, Kévin agenouillé sous le bureau, lorsqu’une tornade rose fit brusquement irruption dans la pièce.
« Cindy ! la gronda Georges, haletant. Combien de fois t’ai-je demandé de frapper, avant d’entrer ?
-Euh, j’ai perdu le compte, papa, répliqua l’adolescente. Sept mille fois ?
-Bon, ça ira pour cette fois, soupira le patron d’une manière qui pouvait aussi bien exprimer le soulagement que le plaisir. Maintenant, va-t-en, je suis occupé.
-À quoi ? lui répliqua sa fille. D’accord, tu lis un gros classeur, m’enfin bon… »
En vérité, le dossier cachait assez avantageusement la tête du jeune homme, qui s’activait toujours, dissimulé des regards.
« Oui, mais euh… tenta-t-il faiblement d’argumenter, pendant qu’il luttait contre l’orgasme qui menaçait de le submerger. J’ai du travail !
-Dis, ça va ? s’enquit-t-elle en réponse. T’as l’air tout bizarre…
-Tout… va… bien… souffla le PDG de la Flander’s Company tandis que son secrétaire s’occupait toujours de son membre dressé, caché sous la table. Pars, maintenant.
-Bon ben, j’m’en vais, alors, fit l’apprentie en haussant les épaules. Je passais juste te dire coucou.
-C’est ça, c’est ça », s’abandonna-t-il alors qu’elle renfermait la porte, perplexe.
Kévin cessa un instant son travail afin de le fixer dans les yeux.
« Vous vous rendez compte de l’humiliation que j’ai éprouvée, là ? protesta-t-il. Et si elle nous avait surpris ?
-Tais-toi et continue », lui rétorqua son supérieur, sans même daigner lui répondre.
Mortifié, il s’exécuta.