...en pratique, je me comporte chaque jour comme si Dieu n'existait pas, pas un jour comme s'il n'existait pas, un jour comme s'il existait et un jour comme si c'était Zeus. ^^
Bon, ben si tu vires la partie sur Zeus, là, tu as ma mère, par exemple. XD Je recopie ce que j'ai dit à son sujet plus bas :
En fait, mes parents ne sont pas croyants (ils sont tous deux agnostiques), mais plus en mode "suivons le mouvement et la grand-mère chiante et baptisons quand même la petite, on sait jamais".
C'est de ce genre de comportement que tu voulais parler ? ^^
C'est comme ça que se comportent plutôt les chrétiens qui ont perdu la foi, alors ? A défier les préceptes de Dieu un jour, et le regretter le jour suivant ?
Je n'aurais pas formulé ça comme ça. ^^ Personnellement, je ne pense pas que le côté "défier les préceptes de Dieu" fonctionne vraiment. Pour moi, le fait de ne plus croire en Dieu ne réside pas dans le défi actif, mais plutôt, au contraire, dans le fait mou et passif de ne plus pratiquer : ne plus aller à la messe, ne plus se confesser, ne plus suivre les privations rituelles...
Ah, et en écrivant cela, je me suis soudain souvenue d'un Vendredi Saint où ma mère et moi avons mangé un kébab, en gloussant de culpabilité. Pour les athées, agnostiques et non-chrétiens croyants/pratiquants en général qui passent par ici, le Vendredi Saint, on n'a pas le droit de manger de la viande. Manger un kébab transgresse donc cet interdit, d'une façon triviale, certes, mais quand même.
J'avais dans les douze-treize ans, donc vers la perte de foi, mais pas tout à fait. Eh bien, il me semble que le lundi suivant, je suis allée me confesser. XD Évidemment, le prêtre a relativisé, mais voilà, c'est pile ce que décrit Nelja.
Je vous rassure tout de suite, ça ne m'arriverait pas aujourd'hui, hein. Pour ma mère, en revanche, je n'ose pas en parler avec elle mais il me semble qu'elle n'a pas dépassé la période "Allons à la messe de temps en temps, on sait jamais"... (edit) Mais comme le dit Jainas, il y a également beaucoup de social là-dedans. :D Par exemple, mes parents ont assisté à la messe de vendredi dernier parce que la nièce de mon beau-père y chantait.
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Bon, ben si tu vires la partie sur Zeus, là, tu as ma mère, par exemple. XD Je recopie ce que j'ai dit à son sujet plus bas :
En fait, mes parents ne sont pas croyants (ils sont tous deux agnostiques), mais plus en mode "suivons le mouvement et la grand-mère chiante et baptisons quand même la petite, on sait jamais".
C'est de ce genre de comportement que tu voulais parler ? ^^
C'est comme ça que se comportent plutôt les chrétiens qui ont perdu la foi, alors ? A défier les préceptes de Dieu un jour, et le regretter le jour suivant ?
Je n'aurais pas formulé ça comme ça. ^^ Personnellement, je ne pense pas que le côté "défier les préceptes de Dieu" fonctionne vraiment. Pour moi, le fait de ne plus croire en Dieu ne réside pas dans le défi actif, mais plutôt, au contraire, dans le fait mou et passif de ne plus pratiquer : ne plus aller à la messe, ne plus se confesser, ne plus suivre les privations rituelles...
Ah, et en écrivant cela, je me suis soudain souvenue d'un Vendredi Saint où ma mère et moi avons mangé un kébab, en gloussant de culpabilité. Pour les athées, agnostiques et non-chrétiens croyants/pratiquants en général qui passent par ici, le Vendredi Saint, on n'a pas le droit de manger de la viande. Manger un kébab transgresse donc cet interdit, d'une façon triviale, certes, mais quand même.
J'avais dans les douze-treize ans, donc vers la perte de foi, mais pas tout à fait. Eh bien, il me semble que le lundi suivant, je suis allée me confesser. XD Évidemment, le prêtre a relativisé, mais voilà, c'est pile ce que décrit Nelja.
Je vous rassure tout de suite, ça ne m'arriverait pas aujourd'hui, hein. Pour ma mère, en revanche, je n'ose pas en parler avec elle mais il me semble qu'elle n'a pas dépassé la période "Allons à la messe de temps en temps, on sait jamais"... (edit) Mais comme le dit Jainas, il y a également beaucoup de social là-dedans. :D Par exemple, mes parents ont assisté à la messe de vendredi dernier parce que la nièce de mon beau-père y chantait.