ext_41130 ([identity profile] flo-nelja.livejournal.com) wrote in [personal profile] soleil_ambrien 2011-11-17 08:24 pm (UTC)

Ben quand j'ai prévu de passer du temps sur Internet, et que ma connexion plante, oui, moi aussi, je suis en colère et déprimée.
Mais je suis le genre à prévoir pas mal de choses et à avoir toujours cette sensation de frustration dès qu'un plaisir dont je me faisais une joie à l'avance est annulé, que ce soit l'ami qui me téléphone au dernier moment pour me dire que finalement il ne peut pas venir, la pièce de théâtre en plein air annulée, le livre que je voulais relire qui a disparu dans un wormhole, le téléphone d'une amie qui est en dérangement ou le cinéma qui a fait une faute de frappe et projette "Contre-attaque" au lieu de "L'empire contre-attaque".
Donc si ça signifie que je suis accro à Internet, alors je suis accro à beaucoup d'autres choses. ^^
Et donc, par surprise, 24 heures sans Internet ça me met par terre, alors que, si je décide de passer une semaine dans un coin qui ne l'a pas, que je demande à quelqu'un de faire ma compile [livejournal.com profile] ficsfr_news, etc, je gère la semaine sans problème aucun.
Et dans le cas précis que tu décris ce soir, j'ai plus l'impression que c'est ce cas-là, d'avoir un plan qui tombe à l'eau, plutôt que la privation d'Internet en soi. Même si tu as peut-être plus de flexibilité que moi sur ce point en général.

Mais bon, par exemple, toutes les deux, nous sommes très accros aux livres, au moins autant qu'à Internet. Une privation de livres nous rend malheureuses, et on peut passer beaucoup de temps à les lire, y compris sur nos heures de sommeil. Est-ce qu'il y a une raison objective pour laquelle c'est moins grave, ça a moins d'impact négatif dans notre vie, ou est-ce que c'est juste plus socialement acceptable ?

Post a comment in response:

This account has disabled anonymous posting.
If you don't have an account you can create one now.
HTML doesn't work in the subject.
More info about formatting